Samedi passé a la dejeuner des hommes avec mon église, mon ami Sylvain a partagé un mot sur un sujet qui est trés important: le pardon. En bas sont ses notes. J`ai les trouvé excellente. Il a mis ses référence aussi. Je veux partager ses notes parce que je pense chaque personne a besoin de comprend plus au sujet de pardon et apprendre comment l’appliquer dans leur vie. Merci Sylvain Durand!
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7e Déjeuner des hommes
Samedi le 9 novembre 2013 à 8 :15 au Restaurant Tournesol
« Je vais pardonner à ceux qui m’ont offensé et me réconcilier avec ceux que j’ai offensés. »
Les avantages du pardon pour notre vie et comment y parvenir :[1]
Je savais le pardon difficile à pratiquer, mais je le pensais simple à comprendre. En réalité, ce mot simple recouvre une réalité complexe aussi bien du point de vue théologique que psychologique. Mais quand il s’agit de faire une démarche de pardon ou d’encourager quelqu’un à pardonner, il vaut mieux être au clair sur le sujet.
Pourquoi pardonner ?
• Parce que Dieu nous le demande. C’est un acte de soumission au Seigneur.
« 14Si vous pardonnez aux hommes leurs fautes, votre Père céleste vous pardonnera aussi, 15mais si vous ne pardonnez pas aux hommes, votre Père ne vous pardonnera pas non plus vos fautes. » (Matthieu. 6:14-15.)
• Parce que Dieu nous pardonne. C’est une conséquence du pardon reçu. (Matthieu 18:23-35). C’est une marque et une mesure de notre propre expérience de la grâce de Dieu.
• Parce que pardonner c’est imiter Dieu
“…Vous pardonnant réciproquement, comme Dieu vous a pardonné en Christ. Devenez donc les imitateurs de Dieu…” Ephésiens 4:32
Pardonner c’est revêtir l’homme nouveau et entrer dans notre identité en Christ, devenir conforme à ce que nous sommes en Christ. Pour pardonner, nous devons croire que Dieu donne à la personne habitée par le Saint-Esprit les ressources intérieures pour le pardon.
• Parce que le refus de pardonner nous éloigne de la communion avec Dieu
Dans le Notre Père, nous demandons à Dieu de nous “pardonner nos offenses comme nous aussi nous pardonnons à ceux qui nous ont offensés”. Matthieu 6:12
Matthieu 6:14-16 “Si vous pardonnez aux hommes leurs fautes, votre Père Céleste vous pardonnera aussi, mais si vous ne pardonnez pas aux hommes, notre Père Céleste ne vous pardonnera pas non plus vos fautes”
Je crois que Jésus ne parle pas ici d’un pardon de salut (Il n’y a pas de mérite en ce qui concerne le salut) mais d’un pardon de communion avec le Père en tant qu’enfant. Quand nous sommes offensés, nous devons comprendre que le non pardon est un obstacle à nos prières et à la bénédiction de Dieu sur notre vie, alors que le pardon va nous introduire dans une intimité nouvelle avec le Seigneur, rendre nos prières efficaces et libérer l’action de Dieu dans notre situation.
Certains diront : “Je ne peux pas pardonner”. La question première n’est pas de pouvoir (c’est la puissance de Dieu) mais de vouloir. Tant que nous résistons à la décision de pardonner, nous résistons à Dieu et Il nous résiste.
• Parce que le refus de pardonner nous livre aux tourments (Matthieu 18:23-35)
La parabole du serviteur impitoyable se termine dans les tourments. Le maître livre aux bourreaux le serviteur impitoyable qui refuse de pardonner et d’offrir la grâce qu’il a lui-même reçue.
Quels sont les bourreaux qui tourmentent ceux qui ne pardonnent pas ? L’amertume, la haine, la rancune « Prenez garde que personne ne rende le mal pour le mal ; mais recherchez toujours le bien, soit entre vous, soit envers tous. » 1 Thessaloniciens 5 :15, le désir de vengeance, la pitié de soi, l’esprit de jugement… “Cette rupture de communion avec Dieu se produira si vous ne pardonnez pas”. Vous serez livrés aux tourments de ces bourreaux. Vous serez prisonniers de ces pensées et de ces sentiments que vous ne voulez pas abandonner. Ils vont vous tourmenter et vous détruire. Au départ, ces murs que vous dressez devant la personne qui vous a blessé, vont assurer une certaine protection, mais petit à petit vous allez construire votre propre prison et vos tourments.
• Parce que le pardon est nécessaire à la réconciliation. (Matthieu 5:23-26)
Dans le pardon, Dieu vise la réconciliation. Si vous ne pardonnez pas vous ne pourrez pas vous réconcilier. Une démarche de pardon commence par une démarche personnelle devant Dieu avant d’être une démarche extérieure vers l’offenseur. C’est le Saint-Esprit qui va agir.
Nature du pardon de Dieu :
“Quel Dieu est semblable à toi, qui pardonnes l’iniquité et qui oublies les péchés du reste de ton héritage? Il ne garde pas sa colère à toujours, car il prend plaisir à la miséricorde. Il aura compassion de nous, il mettra sous ses pieds nos iniquités; tu jetteras au fond de la mer tous leurs péchés.” Michée 7:18-19
Le pardon chrétien n’a pas de lien avec le fait que si quelqu’un a fait quelque chose de mal au niveau de la loi elle doit être dénoncé et payer les conséquences de son geste.
“Si l’on fait grâce au méchant, il n’apprend pas la justice, il se livre au mal dans le pays de la droiture, et il n’a pas égard à la majesté de l’Éternel” ( Esaïe 26:10)
– L’offense-blessure me concerne, moi, dans ma responsabilité de décider de ce que je fais avec cette blessure. La légitime colère : Vais-je la recevoir comme un hôte passager ou comme un habitant permanent qui va tisser sa toile d’amertume, de haine, désir de vengeance…
Il y a un prix à payer pour pardonner à son prochain. Le chrétien doit payer ce prix, sans hésiter et sans chercher à se venger, ni appeler à la vengeance. [2]« Ils lapidèrent Étienne, qui priait et disait : Seigneur Jésus reçois mon esprit ! Puis, il se mit à genoux et s’écria d’une voix forte : Seigneur, ne les charge pas de ce péché ! Et, après avoir dit cela, il s’endormit. » Actes 7 :59
Luc 17:3 “Si ton frère a péché, reprends-le, et s’il se repent, pardonne-lui”. Il est vrai que pardonner n’est pas tenir le coupable pour innocent, pour l’encourager dans son péché. Nous devons nous protéger aussi du péché des autres. La réconciliation n’est pas forcément souhaitable si la personne persiste dans son état de péché. Il y a légitimité devant Dieu de dire que, dans ces conditions, une relation d’amour et d’unité n’est pas possible. Mais la démarche intérieure de pardon est possible.
Exemple de démarche possible :
1) Pour pardonner il ne faut pas chercher à nier les blessures ni à les expliquer
OUI, je suis blessé; OUI je souffre; OUI je suis en colère… Jésus a dit que la vérité rend libre.
2) Pour pardonner il faut identifier et dénoncer le péché.
‘’ OUI TU M’AS BLESSE. Tu es responsable du mal que tu m’as fait ”
– Pour pouvoir pardonner il faut dire la faute, dire OUI tu as péché, OUI tu n’avais pas le droit de faire ce que tu as fait. C’est ainsi que Dieu pardonne.
C’est important, car pardonner ne consiste pas à tenir le coupable pour innocent. Exode 34:6-7 “L’Eternel est compatissant et qui fait grâce… qui pardonne la faute, mais qui ne tient pas le coupable pour innocent…” Il ne faut pas dire: “ce n’est rien, ce n’est pas grave”. Mais OUI tu as péché et tu n’en avais pas le droit mais je choisis de ne pas utiliser ton péché contre toi.
Dénoncer le péché est important :
– Parce que beaucoup pensent : Si je lui pardonne, il va croire que je lui donne raison, que ce n’est pas grave et qu’il peut recommencer…C’est un sentiment profondément enraciné dans l’âme humaine de croire que pardonner c’est dédouaner trop facilement. Pardonner est un combat contre ce mensonge
– Parce que dénoncer le péché, c’est rappeler que Dieu a été lui aussi offensé. Au psaume 51:6, David est confronté à son péché, le meurtre d’Urie. Nathan, le prophète vient dire au roi que le Seigneur a lui aussi été offensé.
– Par rapport aux fausses culpabilités de ceux qui ont retourné vers eux une culpabilité qui devrait être tournée vers l’offenseur. C’est souvent vrai dans des abus sexuels. Il faut rétablir la vérité.
– Pour permettre et favoriser l’expression d’une juste colère qui est la colère de Dieu devant le péché de l’homme. OUI Dieu crie avec toi contre l’injustice et le péché de ton offenseur.
3) Accepter d’assumer la conséquence de la faute des autres
‘’OUI je suis responsable aujourd’hui de ce que je fais de ma blessure”
-Nous ne sommes pas responsables du péché des autres, mais nous sommes responsables de nos réactions. Nous ne sommes pas responsables des blessures que nous donnent les autres, mais nous sommes responsables de ce que nous faisons de ces blessures. Nous sommes responsables d’assumer les conséquences de ces blessures. Et il n’y a pas d’autre alternative pour en sortir.
– Nos blessures font un lien avec un passé que l’on ne pourra jamais changer. La seule chose que vous puissiez changer, c’est la nature de ce lien qui vous relie au passé. La seule chose sur laquelle vous avez prise aujourd’hui, c’est ce que vous allez faire de vos blessures. Pour que ça change et que soient déliés les nœuds qui vous retiennent à vos souvenirs, il faut entretenir une autre relation avec le souvenir. La seule façon d’en sortir, c’est de détourner son regard du passé pour le tourner vers aujourd’hui.
L’offenseur, qu’il soit repentant ou non, ne pourra pas revenir en arrière, appuyer sur la touche “reward”. On ne peut pas rembobiner le film, l’histoire est irrémédiablement écrite. Je ne peux pas réécrire mon histoire, mais je peux vivre autrement avec mon histoire. Seul le pardon peut opérer cette transformation.
4) Accepter de porter la faute des autres
‘’OUI je renonce à faire payer à l’autre le prix de ma blessure”
– Le pardon est une substitution dans le sens où l’on prend sur soi, on assume les conséquences de la faute des autres. Pardonner coûte, parce que c’est vous qui payez le prix du mal que vous pardonnez. C’est ce que Dieu a fait pour nous. Le péché nous a séparés de Dieu et Dieu a été atteint par notre péché, attristé par notre péché. Alors Dieu a pris l’initiative d’assumer les conséquences de notre conduite. Jésus-Christ a pris sur lui le poids de nos fautes dont il n’était pas responsable. Il l’a fait pour rendre de nouveau possible une relation, une communion avec lui.
– La démarche intérieure de pardon n’est pas conditionnée par la repentance de l’offenseur. “Si au moins il était repentant, ce serait plus facile”. Peut-être, mais pas nécessairement. Et heureusement, sinon vous ne pourriez pas vous en sortir tant que votre offenseur ne serait pas repentant. Il conserverait des droits sur vous et le pouvoir de contrôler votre vie. Et c’est ce que vous lui autorisez de faire tant que vous ne pardonnez pas.
Les droits que l’agresseur conserve sur sa victime sont ceux que sa victime lui laisse. Vous croyez le tenir, mais c’est lui qui vous tient. En refusant de pardonner, j’accepte que l’autre contrôle encore ma vie à travers mon passé. Pardonner c’est dire : ”OUI, je suis responsable de ce que je fais aujourd’hui de ma blessure, donc je choisis d’être libre, d’ être libéré du mal que l’autre m’a fait et qu’il continue encore de me faire. Je lui retire le pouvoir que je lui donnais sur ma vie.”
En devenant capable d’assumer les conséquences de la faute de l’autre, vous devenez acteur du changement. Vous n’êtes plus une victime passive et résignée. Maintenant je suis responsable de ma souffrance, de mes blessures, de ce que j’en fais. ‘‘Maintenant je deviens responsable des sentiments, et des pensées négatifs qui sont en moi, et je choisi d’y faire face !”
5) Pardonner c’est renoncer à se venger, à exercer la justice
‘’ OUI je dépose les armes ‘’
– Les armes de la vengeance sont des liens émotionnels très forts, en relation avec le passé. ”Je suis déprimé, je suis seul, j’ai mal… C’est sa faute, Je suis tellement en colère contre lui !” ‘’Vous ne voyez pas à quel point cette personne me détruit” Mais elle continue à vous faire mal par l’amertume, la colère, la rancune, la haine, la méchanceté…que vous projetez sur elle et avec laquelle vous cherchez à la punir.
– Pardonner c’est confier à Dieu l’offenseur et son péché (pas comme dans certains psaumes). ”C’est à ta justice que je remets mon passé. Ce péché de l’autre, je le porte, je lui donne vie, je lui laisse des droits sur moi, je le laisse contrôler ma vie.” Parfois des personnes se sentent salies, souillées par le péché des autres comme si elles le portaient en elle. Alors je choisi de me délier, me séparer de ce péché qui n’est pas le mien mais qui opère en moi. Je confesse le péché commis contre moi pour qu’il soit ôté de moi et posé sur le Crucifié où le péché a été jugé. Le péché est transféré sur la personne du Christ.
– Vouloir se venger c’est un manque de foi dans la justice de Dieu. Romains 12:19 “Mes amis, ne vous vous vengez pas vous-mêmes, mais laissez agir la colère de Dieu, car il est écrit: C’est à moi qu’il appartient de faire justice; c’est moi qui rendrait à chacun son dû”
6) Demander pardon à Dieu pour les péchés commis en réaction à nos blessures.
‘’ OUI je suis amer. OUI je suis habité du désir de vengeance, OUI je pleure sur moi…”
Je sais que c’est difficile à entendre, mais dans les blessures, je me trouve confronté à mon propre péché : vengeance, méchanceté, amertume, désir de punir, pitié de soi… Voilà ce que je découvre en moi.
Je découvre aussi que je me suis attaché à ces blessures, et que j’ai cherché à en tirer des bénéfices secondaires par la dramatisation, la victimisation…
Pardonner c’est aussi entrer dans une démarche de repentance, confesser son propre péché et y renoncer. La repentance est profondément libératrice, parce qu’elle nous replace dans la vérité d’aujourd’hui et nous rend responsable du changement. Je ne peux pas changer le passé, mais je peux, avec l’aide de Dieu, changer mes pensées et mes sentiments, je peux changer mes fonctionnements. Cela change même nos larmes.
7) Pardonner c’est changer ses croyances et renoncer au mensonge
‘’ OUI, je veux vivre dans la vérité.”
Il est important de travailler à reconstruire sur la vérité : vérité sur Dieu, sur les valeurs personnelles.
– Pardonner est un acte de foi. Les personnes doivent se dépouiller, abandonner ce qui a alimenté leur vie, leurs pensées. C’est un deuil qu’elles ont à vivre. Passer par une démarche de pardon nous met dans la crainte et l’insécurité.
Dieu dit que toutes choses concourent au bien de ceux qui aiment Dieu. Par le pardon, Dieu rejoint la personne blessée au cœur de ses blessures, de sa souffrance pour la restaurer. Il peut même faire des anciennes blessures un moyen de sa bénédiction pour demain.
PARDONNER, c’est arriver jusque-là, et c’est alors que le processus de guérison peut commencer. Il peut commencer parce que vous vous êtes libérés des liens de la colère et de l’amertume qui entretenait le souvenir et donnait vie à la blessure.
– Parce que le pardon est une démarche personnelle devant Dieu, avant d’être une démarche extérieure devant celui (celle) qui vous a offensé. Cette démarche est indépendante de l’attitude de l’offenseur.
Romains 5:8 “Mais Dieu prouve son amour envers nous, en ce que, lorsque nous étions encore des pécheurs, Christ est mort pour nous”
Dans Luc 15 Jésus parle de la repentance. Luc 15:10 “Il y a de la joie dans le ciel pour un seul pécheur qui se repent” et il parle de l’attitude du père devant le fils perdu. Dieu attend notre repentance, mais dans son cœur le pardon est disponible, il est offert.
Le cœur de Dieu est prêt à la paix et à la réconciliation. Le fruit du pardon c’est cela : Un cœur qui est préparé, apaisé, disposé à la grâce même si la réconciliation n’est pas possible. Le pardon est une démarche intérieure et personnelle, indépendante de l’attitude de celui qui nous a offensés.
Comment je comprendrais que Dieu me pardonne, si je ne pardonne pas ?
Comment ferais-je avec ceux qui sont morts? On peut leur pardonner, mais on ne peut pas se réconcilier avec eux, sinon d’une réconciliation intérieure qui est très réelle.
Si je ne pouvais pardonner qu’à ceux qui se repentent, je continuerais à les laisser contrôler ma vie par leur péché.
Le pardon n’est pas perçu dans notre société comme une valeur positive. Il est vu comme un acte de faiblesse. Mais la faiblesse c’est de rester dans la prison de ses ressentiments, de l’amertume, de la colère. Pardonner c’est un acte de puissance qui nous fait ouvrir les portes de nos prisons. Pardonner c’est devenir libre. Le pardon est une puissance pour la liberté.
J’ai de la peine pour ceux qui sucent le poison de l’amertume, pour ceux pour lesquels brûle, à l’intérieur, le feu de la colère. Je sais qu’ils sont malheureux. Je sais qu’ils se détruisent et détruisent les autres. Si vous laissez les blessures tisser ces pensées et émotions négatives, vous allez passer à côté de votre vie. Vous ne saurez pas construire les vraies relations dont vous avez tant besoin.
Concluons par une question faut-il pardonner l’impardonnable :
« Mais je vous dis, à vous qui écoutez : Aimez vos ennemis, faites du bien à ceux qui vous haïssent, 28bénissez ceux qui vous maudissent, priez pour ceux qui vous maltraitent. 29Si quelqu’un te frappe sur une joue, présente-lui aussi l’autre. Si quelqu’un te prend ton manteau, ne l’empêche pas de prendre encore ta tunique. 30Donne à quiconque te demande, et ne réclame pas tes biens à celui qui les prend. 31Ce que vous voulez que les hommes fassent pour vous, faites-le pareillement pour eux. 32Si vous aimez ceux qui vous aiment, quel gré vous en saura-t-on ? Les pécheurs aussi aiment ceux qui les aiment. » Luc 6 :27-32
Appel à la réconciliation entre frères
« Ainsi donc, comme des élus de Dieu, saints et bien-aimés, revêtez-vous d’ardente compassion, de bonté, d’humilité, de douceur, de patience. Supportez-vous les uns les autres et faites-vous grâce réciproquement ; si quelqu’un a à se plaindre d’un autre, comme le Christ vous a fait grâce, vous aussi, faites de même. Mais par-dessus tout, revêtez-vous de l’amour qui est le lien de la perfection. » Colossiens 3 :12-14
« 21Alors Pierre s’approcha et lui dit : Seigneur, combien de fois pardonnerai-je à mon frère, lorsqu’il pèchera contre moi ? Jusqu’à sept fois ? Jésus lui dit : 22Je ne te dis pas jusqu’à sept fois, mais jusqu’à soixante-dix fois sept fois.» Matthieu 18 :21-22
Je vous encourage à pardonner et à vous réconcilier; ce qui va vous permettre d’approfondir votre relation avec Dieu.
« 25Et lorsque vous êtes debout en prière, si vous avez quelque chose contre quelqu’un, pardonnez, afin que votre Père qui est dans les cieux vous pardonne aussi vos fautes. 26[Mais si vous ne pardonnez pas, votre Père qui est dans les cieux ne vous pardonnera pas non plus vos fautes .» Marc 11 :25-26
[1] Pourquoi pardonner? (La pratique du pardon – Partie 1 et partie 2) http://topchretien.jesus.net/topfamille/view/3689/
Great post, Ron. Great work, too. Even through Google Translate I can hear your heart. 🙂 This is not only a good post, but a great tool to refer back to from time to time.
Sorry, I didn’t copy the initial paragraph before I translated! Haha! Wanted to give credit where it is due. Great job, Sylvain! Still, thanks, Ron, for sharing!